Description

Après la traversée de Bergerac et l’option Monbazillac, cap à l’ouest pour rejoindre le terroir viticole du bergeracois, riche de 8 appellations. L’un des plus célèbres vins liquoreux de France s’étend autour du château de Monbazillac, image d’Epinal de la région, avec ses quatre grosses tours et son chemin de ronde à créneaux. Le Pécharmant, peut-être le vin le plus charmeur du Périgord, est volontiers comparé à un Pomerol ou à un Saint-Emilion. Il croît dans un vignoble de 300 hectares, au nord-est de Bergerac. Les Côtes de Bergerac et les Bergerac Rouges sont produits sur l’ensemble de la zone d’appellation. Légers, fruités et souvent remarquablement travaillés, Les Bergerac Blancs secs se boivent jeunes. Dernière appellation en date du Bergeracois (1982), le Saussignac, propose des vins blancs moelleux qui se situent à mi-chemin entre les Bergerac et les Monbazillac. Enfin, Montaigne buvait tous les jours du Montravel. Il s’agit d’un vin blanc qui se décline en deux versions. Les secs utilisent la dénomination Montravel alors que les moelleux se présentent sous l’appellation Haut-Montravel. Au-delà de cet aspect gastronomique, vous cheminerez dans la vallée de la Dordogne, pour rejoindre le point de convivialité de Pessac-sur-Dordogne, puis Saint-Michel-de-Montaigne, connu pour son château et sa tour où le célèbre écrivain rédigea ses « Essais ». Le retour se fera par Le Fleix et La Force. (toutes ces appellations sont à consommer avec modération)