Description

Ce parcours varié ne comporte pas de difficultés particulières. Le long plat après Le Bourg-d’Oisans et la montée jusqu'au barrage du Chambon permettent une bonne mise en jambe avant l’escalade jusqu'à Besse-en-Oisans. La fatigue se fait oublier sur cette route bordée de mélèzes et à la circulation rare. À Besse-en-Oisans, continuer jusqu'à la boulangerie artisanale connue dans la région pour ses pains cuits au feu de bois. À Besse-en-Oisans, continuer jusqu'à la boulangerie artisanale connue dans la région pour ses pains cuits au feu de bois. Du Bourg-d’Oisans sur la RN91, direction Briançon, s’engager dans les gorges de l’Infernet jusqu’au barrage du Chambon. Tourner à Mizoën puis suivre Besse-en-Oisans - Clavans en haut Oisans. Continuer par la D25 jusqu’à Besse-en-Oisans. Pour la petite histoire... Mizoën : Il ne faut pas sortir dans les rues de Mizoën le soir des rois, à l'Épiphanie car un croquemitaine y a ses habitudes. Il chevauche un grand cheval garni de grelots et emmène tous les enfants qui traînent ou qui ne sont pas sages. Du coup, pour forcer les enfants du pays à rester tranquilles, tous les habitants sortaient le soir du 6 janvier munis de sonnailles, cloches et grelots pour faire un grand raffut destiné à effrayer les petits Mizoenanis. Besse-en-Oisans : Ce nom signifie bouleau (en patois Bes). Il y avait une forêt au-dessus de l’actuel village. Un incendie la ravagea en 1540, si bien que les hommes s'installèrent à la limite épargnée, composée de bouleaux. Les maisons en schiste, remarquablement rénovées font de Besse l’un des plus beaux villages de France. Ce fut un ancien poste de douane entre la France et l’Italie. Crédit photo : Eric Beallet ; Laurent-Salino ; Images et rêves